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À titre indicatif:
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un air à 22 °C et 35 % d’humidité relative contient 6 grammes d’eau/m (condition hivernale: espace intérieur)
un air à 20 °C et 60 % d’humidité relative contient 8 grammes d’eau/m 3
un air à 26 °C et 80 % d’humidité relative contient 17 grammes d’eau/m 3
Les deux facteurs suivants jouent un rôle dans la prévention de la condensation :
• maîtrise de l’hygrométrie de l’air de ventilation. En hiver, une humidification est souhaitable;
en été, une déshumidification.
• détermination de la température requise au niveau de l’apport d’eau froide (doit être supérieure au point de rosée).
Les mesures pratiques ont montré que, dans le cas de poutres climatiques actives, la température minimale de l’eau froide
fournie peut, au maximum, se situer à 1,5 C sous le point de rosée calculé sans qu’il y ait de condensation. Ce degré et demi
n’est généralement pas pris en compte en compte dans la pratique pour la détermination de la température de l’eau froide
fournie et fait office de marge de sécurité supplémentaire en cas de contraintes imprévues. Pour les poutres passives, il est
apparu que la température minimale admissible doit se situer 0,5 °C au-dessus du point de rosée calculé.
Exemple de températures minimales admissibles pour l’eau froide sans formation de condensation:
Point de rosée - Plus faible température Plus faible température
Température Humidité
Poutre climatique température d'eau froide admissible d'eau froide conseillée
ambiante °C relative %
°C °C °C
22 64 15 13,5 16,5
active 24 70 18 16,5 19,5
25 50 13,5 12 15
passive 24 70 18 18,5 20
Une surveillance active du risque de
condensation est possible en équipant
le circuit d’eau froide des poutres de
Solid Air de capteurs de condensation.
Si la température de l’air de ventilation
arrive à proximité du point de rosée, il
est conseillé de doter le plénum d’une
isolation étanche à l’humidité.
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