Page 228 - Revue LITAR 2019
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accompagnaient dans 61,2 % des cas. Ils les aidaient à acheter ou à prendre leurs
                traitements dans 83,3% des cas.Lors des hospitalisations, les partenaires rendaient
                visite aux patients dans 77,7% des cas.Les couples abordaient le sujet de la maladie
                dans 77,7% des cas.Ce sujet était la cause de dispute des couples dans 16,6% des
                cas.Deux couples avaient envisagé le divorce a cause de la maladie (11,11%).Les
                conjoints accusaient les patients d’exagération de la douleur dans la moitié des
                cas.Lors  des  poussées,  les  partenaires  s’occupaient  destâchesménagères  et  des
                patients dans 61,1% des cas. Ils n’apportaient aucune aide dans 33,33% des cas.La
                maladie était cause d’annulation de sortie des couples 55,5% des cas. Les patients
                se sentaient moins attirante aux yeux de leur partenaire à cause de leur maladie dans
                28,5% des cas.Les conjoints se plaignaient des réveils nocturnes dans 27,8% des
                cas et de la raideur matinale dans 22,2% des cas.
                Conclusion :
                Les RIC peuvent affecter la vie conjugale.Nous avons montré que les différentes
                manifestations tels que les réveils nocturnes et la raideur matinale peuvent être
                source de gène pour le partenaire. 1.Norton, R. (1983). Measuring marital quality:
                A critical look at the dependent variable. Journal of Marriage and the Family, 45,
                141-151.


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                123 : ATTEINTE PULMONAIRE AU COURS DE LA PR: LES
                ATTITUDES THÉRAPEUTIQUES DIFFÈRENT-ELLES AU SEIN D'UN
                MÊME SERVICE DE RHUMATOLOGIE?
                Ben Abdelghani K, Nacef L, Fazaa A, Miladi S, Souabni L, Ouenniche K, Kassab
                S, Chekili S, Zakraoui L, Laatar A.

                Service de rhumatologie, CHU Mongi Slim, La Marsa


                Introduction :
                L'atteinte pulmonaire est la manifestation articulaire la plus fréquente au cours de
                la polyarthrite rhumatoïde (PR). Elle peut être symptomatique, comme elle peut être
                silencieuse  et  découverte  par  les  moyens  d'exploration.  L'attitude  devant  une
                atteinte pulmonaire n'est pas bien codifiée, et est de ce fait très variable.
                Matériels et méthodes :
                Il s'agit d'une étude monocentrique, rétrospective, ayant inclus des patients atteints
                de PR et ayant une atteinte pulmonaire associée, suivis depuis Janvier 2017. La
                période  d'inclusion  s'est  étalée  de  Février  à  Mars  2019.  Les  données
                sociodémographiques  des  patients  ont  été  recueillies  ainsi  que  les  paramètres
                d'activité  de  la  maladie  par  l'évaluation  du  nombre  d'articulations  douloureuses   139
                (NAD),  le  nombre  d'articulations  tuméfiées  (NAT),  l'évaluation  globale  par  le
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