Page 215 - LES FLEURS DE MA MEMOIRE ET SES JOURS INTRANQUILLES_Neat
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J’allais manu militari, redescendre jusqu’au rez-de-chaussée pour me
précipiter à l’agence d’intérims. Je donnais ma démission, expliquant la version
des faits, ce qui ne les arrangeait pas d’autant qu’ils n’avaient absolument rien
d’autre à me proposer, s’imaginant probablement mon retour sur cette mission.
Une opportunité inattendue me fut finalement proposée, qui devait
déboucher sur un poste définitif en qualité de secrétaire particulière du
Général Miterrand, Malheureusement il était question de travailler souvent
tard le soir, ce qui était incompatible avec ma situation monoparentale. Je
n’étais donc pas en mesure d’accepter ce genre d’emploi probablement très
intéressant.
J’oubliais donc les maisons d’intérims pour consulter les petites annonces
dans les journaux….
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